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Brancusi Constantin
“En janvier 1920, alors que Dada bat son plein, le bronze de la Princesse X est salué avant l'ouverture du Salon des Indépendants, où il doit être exposé, par l'exclamation prêtée à Picasso ou à Matisse : « Voilà le phallus !”
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Une sculpture en effet très phallique, obtenue par Brancusi en stylisant à l'extrême un marbre qui représentait au départ une jeune femme aux cheveux longs, penchée sur son miroir. On peut aussi lire un essai qui rappelle que Brancusi s'offusqua qu'on assimile sa Princesse X à "un phallus sur une paire de couilles", affirmant au contraire que sa statue et ses "lignes sinueuses, résument en un seul archétype toutes les effigies féminines de la terre".
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