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Douglas Gordon
“Pour moi, ces œuvres ont tout à voir avec ce cliché : lorsqu'on aime trop quelque chose, on finit par le détruire. Les yeux par exemple, c'est toujours ce qu'on préfère chez quelqu'un, ce qu'on regarde en premier. Si l'on joue avec le feu, quelque chose finit toujours par s'enflammer.”
L'une des oeuvres présentées en 2007 dans l'exposition "After the Factory" : l'artiste Douglas Gordon y montrait des versions dégradées, brûlées, déchirées, des grands portraits iconiques faits par Andy Warhol d'après des photos de Liz Taylor ou Marilyn Monroe.
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