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Flaubert Gustave
"Ce n'est pas sans un certain plaisir que j'ai contemplé mes espaliers détruits, toutes les fleurs hachées en morceaux, le potager sens dessus dessous."
C'est ce qu'écrit Flaubert à Louise Colet suite à un orage de grêle sur Rouen et sa région, en 1853. Comme l'écrit la chercheuse Stéphanie Dord-Crouslé (Partage des savoirs, PUL, 2003) pour Flaubert "la nature est une entité supérieure dans laquelle se lit l'ordonnancement du monde. Aussi ne supporte-t-il pas qu'elle soit rabaissée au niveau de l'homme, à la satisfaction de besoins naturels (la production de nourriture) ou prétendument esthétiques (l'art des jardins)."
A lire › flaubert.univ-rouen.fr
Une lettre de Gustave Flaubert à sa maîtresse Louise Colet dans laquelle il décrit avec jubilation l'effet dévastateur d'un orage de grêle sur son jardin. Aller à la lettre datée du 12 juillet 1853.
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